Petite ville américaine qui sent la tequila à deux cents kilomètres à la ronde,

Je te vois t'approcher de mon état fraternel trop vite,

Tu m'apprivoises me prend dans tes bras et dans ton corps me crie trop fort ta haine.

Le sang des batailles a déjà coulé sur tes parois invincibles,

tes barricades ne servent à rien si bien que parfois pris au désarroi de ton humeur, tu ne vois plus dans tes âmes perdues que des guerriers dans des tombes trop grandes.

Voit les vautours tournoyer autour de ta grande église. Ils voyagent et te clament déjà trop fort des poèmes insensés.

L'ensoleillement du sang est un malice repoussant,

Et les affolements amusés mais atroces forment le commencement

Du firmament éblouissant contenu dans le contrevent.

Sa fonction maintient sa concurrence d'éblouissement.

Les jargons caprices éclatent en corruption

pour une attribution d'assistance sans choix : émanation.

L'aisance des combinaisons combattent sans adjonctions

Les laiderons existants sans vasistas de procuration.

Faisant semblant, des mandats de sang sans défiance

Groupent vastement et sans méfiance.

Malséant, le roi déplaisant joue l'extravagance

Et déplaisant les chats semblent sans existence.

L'élocution de l'illusion est une solution à l'éblouissement

mais sa destination est une péroraison aux élocutions d'assortiments.

Conclusion : excavation sans exhalaison est l'ensoleillement

Pour l'ultime déclaration d'annexion du bon sang.

Sans te voir ,je perçois au loin tes grimaces qui me disent adieu et bon vent.

Sans te consulter ,je recueille en arrière tes simagrées qui me disent bonsoir et bon souffle.

Sans te contempler ,je découvre dans le lointain tes manières qui me disent bonne nuit et bon ouragan.

Sans te comprendre ,j'empoche au-delà tes théâtres qui me disent au revoir et bon souffle.

Sans te savoir ,je ramasse ,absent, tes théâtres qui me disent bonne nuit et bonne flatulence.

Sans t'assister à ,je lève à l'infra tes simagrées qui me disent bonsoir et bon cyclone.

Sans te constater ,je découvre tes manières qui me disent tchao et bonne bise.

Sans te faire voir ,j' encaisse à l'infra tes simagrées qui me disent au revoir et bon cyclone.

Sans te considérer ,je discerne dans le lointain tes simagrées qui me disent tchao et bon sirocco.

=

Il s'assiste dans une foire embrasée et défigurée.

Sans descendance et sans pourboire : sa garniture est déplorée.

Sans descendance de noire parure il est éclairé.

Sans correspondance son pouvoir d'imposteur est opéré.

Abominable hier pour sa correspondance sans aisance.

Désagréable et singulière distance des réjouissance.

Irremplaçable il brille sans apparence, sans existence

Mais effroyable cil : sa danse est mon alliance.

Sa matoiserie n'est pas l'assistance mais la tendance d'hier.

Sa tromperie est la crevasse apparente de son caractère.

Sans rêverie ,ses faibles réjouissances sont passagères,

Mais trop fourbe il a perdu sa mince aisance de naguère.

Pour boire, son apparence l'enivre en un ébranlement

De gloire extravagante qui le rapproche d'un groupement

sans pourboire. Apparence, dérèglement et assortiment

Sont ses pouvoirs correspondants : sans aucun dérangement.

Voir la décadence des mots au degré du vin c'est :

Affaiblissement, anéantissement, banqueroute, cadence sans cendres

Chute et culbute, débâcle et déblais

Décadence et déchéance, déclin et déchirement

Décombres en déconfiture

Décours de décrépitude

Dégât et dégénérescences

Dégradation en dégringolade

Délabrement déliquescent

Démolitions et destruction ou détérioration

Dissolution

Eboulement d'éboulis

Ecroulement effondré

Faillite sans fin

Gravats morts

Naufrage en perdition

Perte

Peste

Renversement

Reste des ruines

Vestiges.

L'épreuve de calligraphie est-elle obligatoire ?

Est-ce l'acte parfait, fécond ?

Est-ce l'acte facile et esthétique ?

Peu importe, le fait est là, la diction est incompréhensible mais voilà : elle est !